Mon histoire

Participez à la naissance d'une ferme Bio innovante et agroforestière en Aveyron :  Au coeur de mon projet, la création du Premier Jardin de THÉ Bio artisanal en Aveyron associé à la production de fleurs comestibles, fleurs à parfum, plantes aromatiques, épices, légumes et fruits rares. 

Qui suis-je ?

Je suis Stanley, je vis en Aveyron et je suis passionné par le thé et la nature. Je suis également  un grand fan des produits de terroirs. 

Mon histoire avec le thé commençait en 2021, un dimanche après-midi en famille, quand mon fils alors âgé de 3 ans m'inspirait en s'amusant à servir le thé avec sa dînette.

Avec son regard d'enfant, j'ai peu à peu construit mon projet tout en partageant ma passion autour du thé avec lui.

Aujourd'hui, grâce à lui j'ai pu trouver mon chemin et je l'en remercie. Ce projet c'est donc en partie grâce à lui.

De sa dînette au jardin, le cœur remplit d'émotions, me voilà donc au coeur d'une nouvelle étape de ma vie avec un projet agricole.

Mes débuts

 

En 2021, j'ai découvert que des paysans cultivaient du thé en France et qu'ils avaient même déjà produit quelques kilos. Le but de ces producteurs étaient de limiter les importations de thés, de réduire l'impact des transports de thés sur l'environnement et de favoriser l'autonomie alimentaire sur le territoire. J'ai trouvé cette démarche incroyable et j'ai donc souhaité soutenir cette nouvelle production locale. J'ai  alors créé le projet Les Thés de Nono (nom donné au projet en reférence à mon fils Nolan aussi appelé Nono). 

Les Thés de Nono, c'est une manière pour moi de valoriser et de soutenir l'agriculture française.

Actuellement, Les Thés de Nono, c'est un petit commerce de thés et d'infusions locales en ligne (sur internet). J'y propose donc des Thés cultivés en Bretagne, en Occitanie, en Loire-Atlantique, sur la Côte Basque, sur l’Île de la Réunion... des thés que j'ai moi même sourcé auprès de petits producteurs de nos régions au gré de mes rencontres... 

Dans le projet Les Thés de Nono, en plus de me fournir localement, je confectionne artisanalement, des thés parfumés et des infusions gourmandes. Ils sont composés uniquement  d'ingrédients de France, de fruits, fleurs, plantes, épices et thés de France. Je n'y ajoute pas d'arômes afin de proposer une expérience gustative unique et différente du commerce habituel.

Cette démarche m'a d'ailleurs permis de faire partie du Collège Culinaire de France, un collège Co-fondé par le chef multi-étoilé Alain Ducasse dont La Cuisine et la vision sont aujourd'hui mes sources d'inspirations. Actuellement, le Collège Culinaire de France regroupe plus de 3000 artisans, Restaurants, Commerces de bouche, Producteurs, Écoles professionnelles... engagés pour construire une alternative face à l’industrialisation et la standardisation de la production, de la restauration et de l’alimentation.

Le projet agricole  : Entre Passion pour le Thé, l'agriculture, les produits de terroirs et  l'artisanat 

 

En 2023, ma passion pour le thé me pousse à aller plus loin. Je lance une expérimentation sur la culture du thé en Aveyron. Faute d'avoir  un terrain, c'est dans un potager partagé (associatif) de 100m2 à Olemps et chez un habitant à St-Parthem que je réalise mes premiers tests en plantant une centaine de théiers. Ici, le thé pousse au milieu des légumes, des plantes aromatiques, des fleurs, épices et des petits fruits du jardin.

Après 2 ans d'expérimentations, d'apprentissage et d'observation je décide de me former en agriculture. En février 2025, je commence donc une formation agricole (BPREA) puis je réalise un stage de 8 semaines chez un producteur de plantes aromatiques en Aveyron sur le larzac (producteur de 40 plantes aromatiques différentes utilisées pour la confection de vinaigres, spiritueux, tisanes, huiles essentielles,  hydrolats, condiments...).

Et Maintenant ? : 

Créer une ferme en partant de zéro, ce n'est pas rien.

 

Aujourd'hui, vos achats sur le site financent ma future ferme en Aveyron et  m'aideront à m'installer en agriculture. 

La première étape consiste à acquérir un terrain agricole en Aveyron. 

Avec la Safer, j'ai identifié plusieurs parcelles adaptées à mon projet d'installation, notamment sur le ségala. 

Le prix de ces parcelles est d'environ 30 000€ pour environ 3 à 5 hectares. 

Ambition / installation

 

Je m'installerai début 2026. 

Comment je vais cultiver sur ma future ferme ?

Je cultiverai de manière biologique et dans une démarche agricole régénératrice. Dans le respect du vivant donc.

Sur la future ferme :

- Aucun intrants chimiques

-  Des couverts végétaux naturels

-  La limitation du travail du sol pour préserver la vie du sol : utilisation de petits outils manuels

- Diversification des cultures.

- Une démarche Agroforestière

Au lancement de l'activité agricole,  je compte planter 2500 théiers. Ces théiers seront âgés de 3 à 4 ans et déja productifs. Ils m'offriront ma première récolte au printemps  2026 (mai-juin).

À terme la ferme comptera plus de 10000 théiers.

Pour que le théier s'épanouisse il est nécessaire d'avoir un sol acide et un terrain boisé (type bocage) pour le protéger. Il pousse à l'abri du vent , à la mi-ombre et préfère un sol drainé.  

Objectif général de la future ferme 

 

• Créer un lieu de recherches : préparer l'avenir et déterminer les plantes de demain. 

•  M'adapter aux changements climatiques avec de nouvelles cultures. Je fais le pari de la diversification : thés, fleurs comestibles, fleurs à parfum, plantes aromatiques, épices, fruits rares et/ou exotiques... le tout dans le respect de la terre et du vivant. Une démarche durable,  écologique, une agriculture régénérative.

• Faire de la ferme un lieu dynamique, vivant, pédagogique et touristique ou l'on peut découvrir le thé à travers sa culture et sa fabrication et bien d'autres cultures. 

• Dynamiser nos campagnes et faire vivre nos territoires. Valoriser mon territoire et le savoir-faire des artisans et producteurs locaux : la ferme sera un lieu de transmission des savoirs faire (ateliers divers). 

• Créer des emplois  sur le territoire 

• Développer l'autonomie alimentaire sur le territoire. 

• Créer du lien et favoriser les échanges : Proposer des événements musicaux ou culturels ou sportifs sur la ferme (art, théâtre...). 

• Célébrer la nature et le goût :
- Pouvoir se restaurer sur place avec les produits de la ferme (salon de thé  /restaurant).  

- Inviter des chefs étoilés sur la ferme et proposer des déjeuners et dîners gastronomiques (2 fois dans l'année). 

• Proposer la privatisation d'espaces pour l'organisation d'événements sur la ferme (séminaires, événements divers...).